lundi 30 avril 2007

La vie qui est dure, le chemin qui est long

l.i.l.l.y.t.a.l.e.n.t. dit :
AAAAAAAAAH
l.i.l.l.y.t.a.l.e.n.t. dit :

l.i.l.l.y.t.a.l.e.n.t. dit :
LE CHANTEUR DE GOOD CHARLOTTE
l.i.l.l.y.t.a.l.e.n.t. dit :

Moudi dit :
il est mort ?
l.i.l.l.y.t.a.l.e.n.t. dit :
PIRE
Moudi dit :
il est en taule ?
l.i.l.l.y.t.a.l.e.n.t. dit :
PIRE
Moudi dit :
il a changé de coiffure ?
l.i.l.l.y.t.a.l.e.n.t. dit :
PIRE
l.i.l.l.y.t.a.l.e.n.t. dit :
IL EST FIANCÉ
l.i.l.l.y.t.a.l.e.n.t. dit :
A
l.i.l.l.y.t.a.l.e.n.t. dit :
NICOLE RICHIE
l.i.l.l.y.t.a.l.e.n.t. dit :


Il est de ces traumatismes dont l'on ne se remet que difficilement... La vie est dure, petite, et le chemin est long !

*Moudi a parlé*

jeudi 26 avril 2007

L'antiphrase

# 1641-1642 : famine
# 1651 : grand incendie d'Edo (30000 victimes)
# 1716-1745 : le Shôgun Tokugawa Yoshimune fait des réformes.
# 1755 : famine
# 1763 : famine
# 1782 : la grande famine
# 1787 : famine


source : Wikipedia


En ce moment je révise l'histoire japonaise.

Chuis trop fan.

mardi 24 avril 2007

La supériorité, les théories morphologiques










Théories morphologiquesLexicaleInférentielle
IncrémentaleT1T2
RéalisationnelleT3T4

Tableau A.


Voilà, ça c'est les données qu'on a eu à l'examen de morpho. Quatre théories au nom barbare pour les trois exercices donnés. L'amphi s'est d'un coup scindé en deux : ceux qui avaient révisé et ceux qui n'avaient pas révisé. Enfin non, en trois : ceux qui avaient révisé et avaient tout compris, ceux qui n'avaient pas révisé et n'avaient pas compris, ceux qui avaient révisé et n'avaient pas compris (l'immense majorité, j'imagine).
J'estime avoir fait partie de la première frange de la population amphithéâtrale... Pourquoi ? parce que je me suis honteusement servi d'une personne de la troisième frange. Le genre de mec qui te dégoûte des études. Le genre de mec, il est tellement gentil, tellement consciencieux, tellement sérieux, tellement studieux, tellement... brave que tu te lamentes autant que lui de son incapacité à comprendre des phénomènes logiques complexes. À force de lui expliquer et réexpliquer, j'ai compris l'essence même de ces théories ; et même si ça m'a pas forcément aidé à le conseiller, c'est sûrement grâce à ça que j'ai réussi mon examen ce matin. Lui, je sais pas, je crois plutôt qu'il s'est planté... Et il a passé tellement de temps là-dessus, je suis vraiment dégoûté. Mais ça m'amuse beaucoup en même temps de voir quelqu'un de vraiment incapable... je suis torturé entre deux attitudes, et sans doute qu'il serait blessé de le savoir.

Ai-je le droit de me sentir supérieur ?

lundi 23 avril 2007

Les joyeux compagnons, l'endroit sensible





J'ai eu trois compagnons pour mes (non-)révisions.* Saurez-vous trouver qui est qui ?

Le premier a frôlé mon oreille à son premier passage, s'est caché dans un coin, a frôlé la deuxième oreille un peu plus tard, a failli se crasher dans le plat de pâtes (d'après ma prof de phonétique, comme je suis normand, je dois prononcer ce mot avec une voyelle vocale basse postérieure non-arrondie et non avec une voyelle vocale basse antérieure non-arrondie ; vous serez priés de faire pareil !) à la sauce bolognaise de chez Leader Price, a sauté dans un coin de ma chambre et a obstinément refusé de s'accrocher au journal salutaire (le journal de Médecins du Monde [donnez ; et s'il vous en reste un peu après, je suis preneur], c'est dire !) que je lui tendais. Jusqu'à ce que j'arrive à le rendre à là d'où il vient : quelque part sous ma fenêtre (oui, je limite l'univers à ce qu'il y a dans ma chambre, ce qu'il y a sous ma fenêtre, ce qu'il y a derrière ma porte et ce qu'il y a dans mon ordi [une catégorie domine légèrement les autres, je ne vous dirai pas laquelle).

Le deuxième a été bombardé sur ma table d'une manière très impressionnante. Il est arrivé sans crier gare et après deux trois hésitations, à tourner autour de mon ordinateur, il a décidé de faire des choses pas très catholiques à mon téléphone portable (ah ! quand je pense que certains se plaignent que y'a pas d'action sur mon blog !). Ne voyant pas tout ça du même œil, je l'ai gentiment invité (avec une feuille de mon cours de morphologie, cette fois, faudrait voir à pas pousser Mamie dans les orties non plus) à partir vers l'autre monde.

Le troisième, enfin, m'a fait remuer les fesses (j'ai ma technique de danse à moi) pendant pas mal de temps ces derniers jours. C'est vraiment terrible, je ne m'en lasse pas tellement c'est riche et entraînant. Et pour remuer les fesses vous aussi, il vous suffit de demander gentiment au monsieur !

Bon, et à part ça j'ai aussi hérité d'un troupeau de moustiques (avec un "e", attention) toutes plus voraces les unes que les autres, en particulier des endroits où j'ai le moins envie d'être piqué... Enfin tant que je sers les cuisses**, le principal est sauf ! Mais même après trois nuits à réitérer la technique ancestrale de Maître Luciole, elles ont l'air de s'accrocher...

Bref, voilà pour la chronique de la journée, totalement inutile. Mais on fait c'qu'on peut avec c'qu'on a. [dicton normand de la journée]

* Je ne compte pas là les divers fâcheux à qui ils arrivent forcément des crasses la veille d'un examen commençant à huit heures. Ils se reconnaîtront (ou pas) et sauront (ou pas) que je les aime quand même (ou pas).

** Nan mais comme je sais que j'ai un lectorat féminin assez actif, je préfère préciser que quand ça pique là, c'est vraiment pas la joie. Étant — comme tout monsieur — assez sensible par là, je la sens la piqûre, et bien. Et du coup, une journée à avoir envie de se les gratter, et ne pas pouvoir le faire, devient un supplice digne de la mythologie grecque. Mais bon si j'étais très vulgaire (écartez les enfants), je dirais que ça fait au moins une qui me les suce (ooooooh mon dieu).

jeudi 19 avril 2007

Moudi, l'humour à Moudi, le goût inimitable à Moudi

ceacy> Bonjour, je cherche le matériel nécessaire pour un sacrifice de vierge.
ceacy> J'ai déjà le pentacle, les bougies, le couteau sacrificiel et l'encens.


Tiré de Bashfr.org


Y'a pas à dire, les meilleures blagues sont celles que je comprends au bout de cinq secondes. Pas celles que je comprends au bout d'une heure, encore moins celles que j'ai déjà comprises avant la fin. Non non, cinq secondes c'est parfait. Peut-être que dans quelques temps je serai assez fin pour réduire ce temps à, disons, une ou deux secondes. Mais l'effet sera-t-il le même ? Non, sans doute, et je me tournerai vers un humour qui m'est pour le moment trop obscur...
J'ai l'impression — mais peut-être me trompé-je (ouais je mets des tirets quand j'en ai marre des parenthèses, c'est plus hype and cool) — que l'on évolue tous dans l'humour, pour passer du furieux et jouissif pipi-caca à... je ne sais pas, autre chose. Finalement, c'est un souci constant, chez moi, de m'améliorer, me diversifier, m'approfondir.

Mais bon...

En attendant d'entrer dans le cercle fermé des adorateurs de clowns morts, je continue d'exploser de rire devant des idioties totales.



J'ai honte...

N.B. : mais en même temps je trouve que y'a trop de nouveaux venus, je fais du tri sélectif ! Le génocide du bon goût !

L'autre bobo

Lui : Là ça fait mal ?
Moi : Hon.
Lui : Et là ?
Moi : Hon.
Lui : Et là ?
Moi : Hon.
Lui : Et là ?
Moi : Hon.
Lui : Et là ?
Moi : Hon.
Lui : Et là ?
Moi : HUIIIIIIIII !!!!!


Désolé si j'ai été désagréable/absent/autre ces derniers temps. J'avais une excellente raison (qui est partie, enfin, merci mon Dieu).


EDITH :

- Mises en garde :
La survenue, en début de traitement, d'une rougeur se généralisant à tout le corps avec des pustules, et accompagnée de fièvre, doit faire suspecter une réaction grave appelée pustulose exanthématique aiguë généralisée (cf. Effets indésirables) ; prévenez votre médecin immédiatement car cela impose l'arrêt du traitement ; cette réaction va contre-indiquer toute nouvelle administration de spiramycine seule ou associée dans un même médicament à une autre substance active.
En cas d'apparition de vertiges, de difficultés à coordonner les mouvements, de confusion, interrompre le traitement.
Risque d'aggravation de l'état neurologique chez les malades atteints d'affections neurologiques sévères.
Eviter la prise d'alcool ou de médicaments contenant de l'alcool ou de médicaments contenant de l'alcool pendant le traitement en raison du risque de survenue de malaises.


J'adoooooooooooooooooore les notices de médicaments ! C'est tellement surréaliste de psychosomatiser sur tout ça... Enfin si vous me voyez plus dans quelques jours, c'est que je me serai pris une biture de trop, que mon affection neurologique sévère se sera aggravée, ou que je serai atteint d'une pustulose exanthématique aiguë généralisée.

Dans tous les cas, c'est que je serai pas présentable.

mardi 17 avril 2007

La phrase que je n'étais pas supposé sortir du contexte mais que j'ai sortie quand même

Luciole dit :
des wie, des als, de l'eurovision et des viols homosexuels
Luciole dit :
soupir...


Aaaaah, les discussions msn à 1h30 du matin... c'est comme les discussions autour d'une bière à 1h30 du matin, mais sans les taches sur la chemise.

dimanche 15 avril 2007

L'angoisse du couloir

*bruit de clavier*
- Groumpf.
*bruit de clavier*
- Putain...
*bruit de clavier*
- Bordel de merde.. 'Fait chier...
*bruit de clavier*
- Hihi.
*bruit de clavier*
- Hihihi HAHAHA !!
*bruit de clavier*


Je crois que le type assis à côté de moi dans le couloir (là où je capte internet quand je capte pas dans ma chambre) se prépare à mettre en œuvre son horrible plan pour conquérir le monde.

J'ai peur... :'(


Edith :
J'ai fait un petit schéma explicatif pour Adam !



Légende :

1 - Le couloir glauque, étroit et mal éclairé de ma cité, où il faut se poser – même à onze heures du soir – pour capter le WI-FI (c'est ça la modernité !)

2 - Moudi, dans sa superbe chemise vert fluo, luttant bravement contre la fatigue pour fournir aux blogueurs assoiffés de connaissance leur pain quotidien
3 - L'ordinateur de Moudi, que vous pouvez vénérer aussi pour son dévouement sans égal
4 - Les petites gambettes peu sportives de Moudi
5 - Les élégantes chaussettes blanches de Moudi
6 - Les cheveux soyeux de Moudi (j'ai pas trouvé de couleur adéquate, mais ils ne sont pas caca d'oie)
7 - Les bras malingres délicats de Moudi
8 - Les douces mimines de Moudi

9 - Le psychopathe qui dit des injures tout bas et rigole comme un malade sans raison apparente
10 - L'ordinateur du psychopathe sur lequel le psychopathe monte des plans machiavéliques pour conquérir le monde (ou, au moins, faire très mal à Moudi)
11 - Les jambes de coureurs cyclistes du psychopathe avec lesquelles il est capable de passer de 0 à 40 km/h en 2 secondes
12 - Les Rangers noires du psychopathe avec des gros clous et des traces de sang séché
13 - La tête de psychopathe du psychopathe
14 - Les gros bras pleins de testostérone du psychopathe, capables de tordre une barre de fer pour en faire un dessin de petit Mickey
15 - Les grosses paluches du psychopathe, prêtes à attraper le nez de Moudi et à le tordre dans une position non reconnue par l'Académie de Médecine

C'est plus clair là, pourquoi j'avais peur ? '^^